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union européenne - Page 2

  • Israël et Union Européenne, une quatrième dose en prévision…

    Publié par Guy Jovelin le 07 septembre 2021

    L’information est rapportée tant par le quotidien israélien i24 news que par Ouest France : il faut se préparer à une quatrième dose de vaccin, « cela va être notre vie à partir de maintenant » a même déclaré le responsable de la lutte contre le coronavirus en Israël, le Professeur Salman Zarka à la radio publique Kan. « Pour ceux qui ont une réponse d’anticorps jugée trop faible, il est probable qu’une quatrième dose soit envisagée », explique de son côté la française Yvanie Caillé, fondatrice de Renaloo (association de patients atteints de maladies rénales) et membre du Conseil d’orientation de la stratégie vaccinale, suivie par le monsieur vaccin de l’hexagone, Alain Fischer :

    « La quatrième dose est une option. La possibilité de vaccination hétérologue, c’est-à-dire avec des vaccins différents, en est une autre. »

    Pourtant, dès l’idée d’imposer une troisième dose, les agences sanitaires européennes estimaient qu’il n’y avait « pas d’urgence » à généraliser une dose supplémentaire de vaccin et la Commission européenne avait prévenu qu’elle n’endossera pas de responsabilité en cas de problème. « La responsabilité d’inclure les rappels dans les campagnes vaccinales nationales relève donc des États membres​ », a précisé la Commission. Cela pourrait signifier qu’en cas d’effets indésirables inattendus qui pourraient être attribués spécifiquement aux rappels, les États concernés pourraient être les premiers à faire les frais d’éventuelles poursuites ou de demandes d’indemnisation. Les laboratoires ne seraient cependant pas entièrement dispensés de responsabilités, par exemple en cas d’effet indésirable post-rappel lié à un problème de production.

    La troisième dose des injections covid-19, -maladie a la faible mortalité, grave principalement pour les personnes très âgées et/ou ayant des comorbidités faut-il le rappeler-, a peine à être acceptée mais les talibans hygiénistes parlent déjà d’une quatrième dose un peu partout dans les pays occidentaux, et Israël, le laboratoire grandeur nature de Pfizer en tête. Pour le plus grand profit des laboratoires pharmaceutiques… mais guère de profit pour les populations qui se voient inoculer des injections encore en phase d’expérimentation dont les risques sur le long terme sont inconnus mais au faible bénéfice sur le court terme connu pour ces personnes âgées ou déjà malades puisqu’il faut leur piquer le bras régulièrement.  Avant que nos gouvernements à la solde de l’hygiénisme actuel et de BigPharma ne décident d’instaurer cette obligation d’une 3e dose, 4e, puis 5e et ainsi de suite pour tous.

    Francesca de Villasmundo

     

    Source : medias-presse.info

  • Agenda Lgbt de l’Union Européenne contre Pologne et Hongrie

    Publié par Guy Jovelin le 04 octobre 2020

    Le premier jour du Conseil européen à Bruxelles, jeudi 1er octobre a été marqué par la lutte entre le respect de l’Etat de droit des Etats et des cultures nationales d’un côté et de l’autre des institutions communautaires, de plus en plus voraces de pouvoirs et de plus en plus enclines à imposer leurs propres idéologies et valeurs négatives à tous les citoyens européens. Une fois de plus, l’affrontement titanesque voit la Commission européenne d’une part et la Pologne et la Hongrie d’autre part, soutenues par les autres pays d’Europe centrale et orientale.  

    Ces dernières semaines, la Commission et le Parlement ont intensifié l’affrontement avec Varsovie et Budapest, prouvant qu’ils ne respectent aucunement les peuples polonais et hongrois derrières les gouvernements légitimement élus et leurs dirigeants. Ils envisagent de priver ces deux pays d’accès aux fonds européens s’ils ne soumettent pas aux injonctions idéologiques de l’union Européenne. 

    A la Pologne, une fois de plus et après la réduction des fonds européens aux communautés locales qui ont approuvé la Charte de la famille (appelée instrumentalement zones franches LGBTI ), des ambassadeurs inconscients de 50 pays et organisations ont envoyé une lettre publique pour le respect des droits arc-en-ciel . Dans la lettre, ils se plaignent de la privation et des limitations des droits des personnes Lgbtqi+, alors que le chef du parti Lgbtqi polonais (Printemps) Robert Biedroń n’a obtenu que 2,9% des voix lors des dernières élections présidentielles et n’a jamais déposé de plainte. Dans ce climat de chasse aux sorcières, les ambassadeurs écrivent :

    « Les droits de l’homme sont universels et tout le monde, y compris les personnes Lgbtqi, a droit d’en jouir pleinement. »

    Il n’y a pas de dénonciation explicite, seulement une invitation publique au gouvernement polonais à « développer un climat de plus grande tolérance envers les personnes et l’idéologie Lgbtqi. »

    La réponse à cette initiative insultante des ambassadeurs est venue directement du gouvernement polonais :

    « La Pologne est un pays très tolérant, elle a interdit toute discrimination et a expérimenté de première main ce que signifie la souffrance, aussi nous n’accepterons aucune pression de la part d’un pays ou d’une institution internationale pour nous imposer une idéologie de gauche. »

    En Hongrie, ces derniers jours, à la suite d’un essai du Premier ministre Orban sur la crise de la démocratie libérale et la nécessité d’une refondation démocratique et chrétienne, publié par divers journaux dans différentes langues, un tollé a éclaté. Viktor Orban ne fait que répéter le concept déjà exprimé ces dernières années, lors des séminaires d’été avec les jeunes de son parti Fidesz : la démocratie libérale est en crise et de libérale elle est devenue totalitaire, en Europe il y a des acteurs mondialistes (Soros) qui régissent nombre des décisions des institutions communes et il y a la volonté d’anéantir les peuples d’Europe centrale et de les soumettre à de nouvelles puissances de gauche, anti-chrétiennes et antinationales. Que n’avait-il pas dit ! Les commentaires dans la presse européenne étaient imaginables parlant de perplexité, d’offenses, d’étonnement.   

    Inimaginable fut en revanche le commentaire de la vice-présidente et commissaire européenne aux valeurs Vera Jurova qui, dans un entretien avec Der Spiegel, a expliqué comment le vrai problème européen est Orban et son « allergie aux principes démocratiques. En Europe il y a le respect pour la démocratie, pas en Hongrie ».

    La réponse d’Orban ne s’est pas fait attendre et le 28 septembre, il a envoyé une lettre ferme au président Von der Leyen demandant la destitution de Jurova et déclarant qu’après les insultes reçues par lui-même et ses concitoyens, il fermerait toutes les relations avec le commissaire européen susmentionné. La Commission a réagi comme elle le fait dans ces circonstances, suggérant que le président Von der Leyen a pleinement confiance dans le travail du vice-président Jurova. Mercredi dernier, une majorité d’Etats membres de l’UE a parallèlement approuvé une proposition avancée par l’Allemagne, actuelle présidente du bloc, sur les modalités permettant de conditionner le versement de fonds européens au respect de l’Etat de droit.

    Ces deux derniers jours les raisons des attaques à la fois insensées et hors du temps de la Commission contre la Pologne et la Hongrie ont été élucidées : jeudi dernier, les premières indiscrétions sur les conclusions de la Commission envers les 27 pays et le respect de l’Etat de droit ont filtré.

    Les premières évaluations sur le respect de l’Etat de droit, qui ont émergé avec le Rapport du 30 septembre, ont  provoqué la juste colère de la Pologne et de la Hongrie. Pour tous les autres pays une simple petite tape ou un peu plus, pour les Polonais et les Hongrois une condamnation sans appel. Ce n’est pas un hasard si les ministres de la Justice des deux pays ont déclaré conjointement :

    « Le rapport soulève de graves préoccupations concernant son concept, sa méthodologie, ses sources et son contenu et ne peut servir de base à d’autres discussions au sein de l’Union européenne sur l’Etat de droit. »

    La Hongrie a également menacé de bloquer le processus des négociations avec le Parlement européen sur le projet de budget pluriannuel de l’UE et sur le fonds de relance économique décidé en juillet, qui représentent ensemble 1.800 milliards d’euros, avec un veto si le versement des fonds est conditionné. « Ce n’est pas la règle de l’Etat de droit, c’est la règle du chantage », a déclaré une porte-parole du gouvernement hongrois.

    La Pologne et la Hongrie n’acceptent pas de subir passivement un procès politique de style néo-soviétique. Ni l’agenda Lgbtqi+ de l’union Européenne.

    Francesca de Villasmundo 

     

    Source : medias-presse.info

  • L’Union Européenne et les pauvres

    Publié par Guy Jovelin le 30 janvier 2020

    Auteur : 

    La pauvreté touche un grand nombre d’Européens : au sein de l’UE, 87 millions d’entre eux vivent sous le seuil de pauvreté, soit plus d’un habitant sur 6. Une situation ancienne que la crise économique a contribué à aggraver.

    Bjorn Stavsen@Bjorn_Stavsen

    Pauvreté : 87 millions d'Européens touchés soit plus d'un habitant sur 6.
    "L'Europe Sociale"
    "L'Europe qui protège"
    "l'Europe des travailleurs"
    "l'euro apportera la prospérité" qu'ils nous disaient.https://www.touteleurope.eu/actualite/pauvrete-87-millions-d-europeens-touches.html 

    Pauvreté : 87 millions d'Européens touchés

    Au sein de l'UE, 87 millions d'Européens vivent sous le seuil de pauvreté, soit plus d'un habitant sur 6. Une situation ancienne que la crise économique a contribué à aggraver. Aujourd'hui, comment...

    touteleurope.eu
     
    Francesca de Villasmundo